Interview avec Georges Druwé
https://archivesshsb.mb.ca/link/archives169346
- Fonds / Collection
- Collection générale de la Société historique de Saint-Boniface
- Description Level
- Document
- Document Type
- documents sonores
- Date
- 3 mars 2014
- Scope and Content
- Cette interview de Georges Druwé par Michel Boucher a été faite dans le cadre du projet d'histoire orale documentant l'éducation au Manitoba français. On y traite de l'enseignement. Georges est né à Saint-Boniface; ses parents qui sont nés au Manitoba étaient d'origine Belge. Il a fréquenté l'école…
- Date
- 3 mars 2014
- Document Type
- documents sonores
- Fonds / Collection
- Collection générale de la Société historique de Saint-Boniface
- Description Level
- Document
- Fonds No.
- 0001
- Series
- Histoire orale de l'éducation
- Reference No.
- W0
- Creator
- Intervieweur : Michel Boucher
- Physical Description
- document sonore : format wave; 1:57:20 min.
- History / Biography
- Ce document a été produit dans le cadre du projet d'histoire orale géré par la Société historique de Saint-Boniface documentant l'éducation dans les communautés franco-manitobaines et métisses.
- Language(s)
- Français
- Scope and Content
- Cette interview de Georges Druwé par Michel Boucher a été faite dans le cadre du projet d'histoire orale documentant l'éducation au Manitoba français. On y traite de l'enseignement. Georges est né à Saint-Boniface; ses parents qui sont nés au Manitoba étaient d'origine Belge. Il a fréquenté l'école Provencher jusqu'à temps qu'on lui suggère d'aller au Collège Saint-Boniface. C'était encore les temps forts des Jésuites qui étaient titulaires de classe et il y avait aussi des laïcs. Les deux sports privilégiés étaient le hockey et la crosse. En 1959, lorsqu'il avait terminé sa première année d'université il est entré chez les Jésuites et il a fait 8 ans de formation. Il a fait sa régence de 1965 à 1967 au Collège comme enseignant. Il est ensuite retourné à Montréal pour faire ses études en Théologie. Il revient à Saint-Boniface en 1967 et il devait donc décider de son avenir. Il avait son Bac et une maîtrise en Philo; il décide donc de s'inscrire pour obtenir sa license d'enseignement. Il a enseigné au Collège Louis-Riel de 1968 à 1975. Par la suite il a obtenu le poste de directeur au Collège. C'était un défi énorme parce qu'il n'y avait pas de matériel en français. Plus tard les choses se sont améliorées avec la création du Bureau de l'éducation française. En 1981, la Division scolaire de Saint-Boniface lui demande de devenir directeur de son centre pédagogique, il a fait ça pendant un an et demi. Son successeur au Collège a quitté son poste, donc on lui demande de revenir à demi-temps au Collège. De retour à Lacerte, il se retrouve dans une école française bien établie. Il était heureux d'être dans cette école parce que dans le quotidien il pouvait s'occuper des besoins pédagogiques et spéciaux des enfants. Il a beaucoup mis l'accent sur les activités culturelles et il s'est beaucoup impliqué parce qu'il demandait beaucoup de ses enseignants. En marge de son travail à l'école, il continuait à participer à des activités dans sa communauté. Il a participé à de nombreux comités divisionnaires et vers 1987 on lui demande de siéger au conseil d'administration de la Société franco-manitobaine (SFM). Il est devenu vice-président trois ans plus tard et il leur a indiqué qu'il n'avait pas l'intention d'être président. Il y avait de nombreux débats constitutionnels à l'époque. En 1992, Raymond Bisson termine son mandat et on l'approche encore. On l'a finanlement convaincu d'assumer la présidence. Par la suite, on lui demande de remplacer un professeur à la faculté d'Éducation du Collège. Il s'est engagé pour un an. Au mois de janvier une délégation de commissaires de la DSFM le rencontre et lui offre le poste de directeur général. C'était sensé durer 3 mois mais finalement il est resté plus longtemps. Quand il a quitté la DSFM, Greg Sellinger qui était conseiller municipal lui demande de faire partie d'un comité pour établir une politique des services en français à la ville de Winnipeg et le projet a été adopté. Par la suite, monsieur Sellinger lui a demandé de siéger au «Public School Finance Board». Il y a passé 6 ans. Une fois son mandat à la commission terminée il a été nommé à la commission provinciale d'évaluation des terres. De plus, il a siégé à des conseils dans le domaine de la santé.
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Interview avec Georges Druwé
Interview avec Georges Druwé
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